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Source : Vidéo
Surnommé « The Inventor » par ses fans, le champion suédois de billard Charles Lakey est mondialement renommé pour ses exploits de précision. Avec une grande aisance, il parvient à effectuer des tours spectaculaires qu’il a lui-même inventé. Sans plus attendre, découvrez le talent de cet artiste de la bille.
Originaire de la ville de Karlskrona en Suède, Charles Lakey, 51 ans est le champion suédois de billard depuis quelques années. Tout au long de sa vie, le champion s’est consacré à sa grande passion.
Charles Lakey a notamment participé à bon nombre de tournois européens et remporté plusieurs médailles de bronze et d’argent. Toutefois, son plus grand talent et son domaine de prédilection consistent à créer et effectuer des « parcours d’obstacles » devant sa caméra.
Avec des milliers de vue sur la plupart de ses vidéos Instagram, Charles Lakey est surnommé « The Inventor » en référence à ses tours de billard qui sont, aux yeux de ses fans, de véritables créations artistiques.
Son tour de billard favori (pool trick) consiste à faire suivre à la boule une trajectoire spectaculaire, grâce à d’habiles effets. Une fois qu’il a bien mémorisé l’endroit où tirer et la force de frappe à employer, le champion peut déjà passer au bouquet final.
Tout autour du passage de la bille, le champion place des obstacles solides. Lorsque le tour est bien réussi, Charles Lakey donne alors l’impression de contourner habilement les objets pour venir toucher la bonne boule.
La concentration et la précision chirurgicale du tireur font toute la différence et, naturellement, le résultat est phénoménal, vidéos à l’appui.
Bien évidemment, de tels tours de billard ne s’improvisent pas du jour en lendemain. Chaque parcours nécessite un réel entrainement en amont. En effet, pour le champion, il n’y a que la perfection qui compte, et la prudence est toujours de mise.
Aussi, lorsqu’il crée un nouveau tour, il passe plusieurs jours à le pratiquer afin de le maîtriser complètement, et il ne place jamais d’obstacles avant d’être sûr de son coup. « Je pratique au moins 10 coups d’essai d’abord, car j’utilise souvent des verres à vin. »
Mais le champion ne se cantonne pas aux parcours d’obstacles. En effet, il est également très présent sur les réseaux sociaux sur lesquels il diffuse régulièrement de nouvelles vidéos. Parmi elles, de nombreux tours amusants pour plaire à ses fans, mais aussi à ses enfants.
Interrogé sur ses idées inventives, Charles Lakey répond : « Le plus souvent, il s’agit de mes créations personnelles, mais j’ai besoin de les peaufiner car la réalité ne se passe pas toujours comme dans ma tête. ».
Charles Lakey s’explique ensuite sur ses prouesses techniques. Pour les réaliser, il compte sur ses talents de tireur, mais pas seulement : « Il me faut généralement plusieurs jours pour mettre mes idées en pratique. Je dois calculer et mesurer les angles, c’est beaucoup de géométrie et de mathématiques. »
L’artiste a de l’ambition et quand on lui demande ses projets, tout est déjà clair pour lui : « Je souhaiterais d’abord avoir ma propre page web où publier mes nouvelles vidéos, et où organiser les réservations pour mes spectacles. J’ai déjà fait plusieurs démonstrations en Suède et en Norvège, j’aimerais maintenant avoir la chance de visiter d’autres endroits. »
Avant de conclure par sa règle d’or : « Le plus important, c’est de s’amuser. »
Le billard à 3 bandes est le jeu le plus populaire du billard Carambole. Découvrez dans cet article les champions de cette discipline qui ont gravé la mémoire par leurs titres, leurs techniques du jeu et leur vivacité !
Si l'on vous parle de jetons et de combinaisons de carte, vous allez sûrement penser au poker. Il faut savoir que le poker désigne en fait une famille de jeu de cartes puisqu'il en existe de nombreuses variantes. Bien entendu, le principe de base reste le même, chaque joueur se voit distribuer des cartes pour former des combinaisons et ensuite participer à un système d'enchères. Comme la plupart des gens, vous vous imaginez certainement que le poker nous vient des Etats-Unis. Mais est-ce réellement le cas ?
Comme pour de nombreux jeux et sports, l'origine du poker est difficile à déterminer et plusieurs versions circulent sur le web. D'autant plus que les règles ont forcément évolué au fil des ans et de la propagation du jeu dans différentes zones géographiques. Certains historiens se sont penchés sur le sujet et il semblerait que le poker puisse être une évolution de différents jeux plus ou moins anciens. Ces jeux avaient pour point commun le principe des combinaisons :
Cela relève certainement plus de la recherche historique sur les jeux que d'un réel lien avec le poker. On apprend pourtant en se documentant sur le sujet qu'au 10e siècle l'Empereur Mu-Tsung fut l'inventeur d'un jeu rappelant le poker... Mais il se jouait avec des dominos.
C'est le nom d'un jeu pratiqué en Perse au 18e siècle qui reposait sur un système de 5 suites. Chaque joueur recevait 2 cartes et pouvait décider de parier pour accéder au tour suivant et recevoir de nouvelles cartes ou passer. Mais on sait qu'à cette époque le poker était déjà pratiqué dans le sud des Etats-Unis, il y a donc peu de chances que l'As Nas soit la base du poker.
C'est aux 16e et 17e siècles que le jeu de la prime connut un grand succès dans de nombreux pays européens, en particulier l'Italie et la France. La similitude avec le poker est assez évidente puisque l'objectif était de former des combinaisons de cinq cartes et qu'il comprenait un système de mise. On peut aussi évoquer le brag anglais qui introduit la notion de bluff, et le brelan, un jeu français de la fin du 18e dérivé de la prime.
Le premier à avoir mentionné le terme poker est Jonathan H. Green dans son livre 'An Exposure of the Arts and Miseries of Gambling' paru en 1830. Cet américain y décrivait le déroulement de parties de cartes qui avaient lieu sur les bateaux à vapeur du Mississipi. Une chose est certaine, c'est bien aux Etats-Unis que le poker moderne est apparu, et dès le milieu du 19e siècle, il va s'étendre vers l'ouest du pays avec la ruée vers l'or. Comme on peut le voir dans les western, le poker fut vraiment un jeu de cowboys dont l'histoire est intimement liée aux saloons et à la consommation d'alcool. Une étape décisive dans l'évolution du jeu fut le passage à 52 cartes qui se fit à peu près à cette même époque. Puis, tout au long de la deuxième moitié du 19e siècle, le poker va gagner en popularité et s'exporter tout en voyant apparaître différentes variantes, notamment le " poker français " dont on situe l'arrivée en Europe au début du 20e siècle. Le poker va ensuite se professionnaliser avec la création de compétitions officielles aux Etats-Unis.
C'est avec l'arrivée en France des sites de paris en ligne qui proposent de nombreux tournois accessibles à tous avec des mises de base modiques que le jeu de poker a littéralement déferlé sur notre pays.
Vous aimez jouer au billard mais le terme carambole ne vous dit rien ? C'est en fait une expression qui signifie billard français, en opposition aux disciplines anglo-saxonnes comme le billard américain, le snooker ou le black-ball qui se pratiquent sur des tables dotées de poches que les non initiés appellent communément les trous. On considère souvent que le billard français est plus compliqué d'accès car il faut maîtriser les effets et les bandes. C'est effectivement un jeu qui requiert une bonne technique, mais de nombreux progrès ont été fait au niveau de la fédération française de Billard pour le rendre plus accessible, notamment aux jeunes qui voudraient s'inscrire en club.
On utilise pour la carambole trois billes de billard, une blanche et une jaune affectées chacune à un joueur, et une rouge que l'on doit 'caramboler'. Afin de proposer une approche plus ludique, une quatrième bille bleue peut être introduite afin de multiplier les possibilités de carambolages tout en nécessitant le même type de réflexion que pour le jeu classique à trois billes. Ce n'est bien sûr pas une variante pratiquée en compétition contrairement aux jeux que nous allons évoquer ci-après.
Il s'agit du jeu le plus courant qui consiste tout simplement à toucher la bille rouge et celle de son adversaire avec la sienne, sans qu'il n'y ait d'ordre à respecter ni de contrainte quelconque. A chaque fois qu'on y parvient, on marque un point et on rejoue.
C'est une variante du jeu libre pour les amateurs de complexité puisque les jeux de " cadres " imposent des zones de la table dans lesquelles les billes ne peuvent rester plus de deux coups de suite. Cela suppose, pour réussir de belles séries, de se creuser la tête pour anticiper les futurs coups à jouer.
Autre variante du jeu libre avec un paramètre en plus qui rend le jeu plus technique. Pour marquer un point, le joueur doit en effet toucher au moins une bande avec sa bille avant de caramboler la dernière bille.
Attention, le jeu à 3 bandes est réservé à des pratiquants expérimentés. Cette fois-ci ce n'est pas une, mais trois bandes que le joueur doit effectuer avant de toucher la dernière.
Si elle fait partie du billard français, cette variante nous vient pourtant de chez nos voisins transalpins, ce qui explique qu'elle soit encore confidentielle en France. C'est pourtant un jeu très dynamique qui a de nombreux atouts pour attirer les jeunes. Il faut donc placer cinq quilles sur la table, quatre blanches et une rouge en position centrale. Les joueurs jouent chacun leur tour, même lorsqu'ils marquent un point. Rendez-vous sur le site officiel de la fédération si vous voulez en savoir plus sur les nombreuses possibilités pour marquer un ou plusieurs points d'un coup au billard à 5 quilles
Autre variante réservée aux experts, le billard artistique se base sur une liste de 100 figures avec des trajets imposés. Durant les compétitions, des figures sont réparties par groupe et les joueurs vont devoir les exécuter dans un ordre précis tout en bénéficiant de trois tentatives pour chacune.
Vos amis belges veulent vous défier au kicker ? Il s'agit du nom qu'ils utilisent pour le baby-foot. C'est en effet un jeu qui se pratique partout dans le monde, avec des tables et des règles qui diffèrent, mais le principe est le même, prendre de vitesse son adversaire ! Voici donc la suite de nos conseils pour rapidement progresser. Et si l'envie vous vient de rejoindre un club, rendez-vous sur le site de la Fédération Française de Football de Table, une carte interactive vous permet de localiser le club le plus proche de chez vous.
C'est un des tirs dont on parle le plus ces dernières années et qui nous vient des Etats-Unis. Beaucoup de compétiteurs l'utilisent, car il permet d'effectuer un tir extrêmement puissant aussi bien droit qu'en diagonale, avec un risque réduit de louper la cage. Il est intéressant de se pencher sur la technique du snake shot qui n'est pas aussi compliquée à acquérir que l'on pourrait l'imaginer. Il faut dans un premier temps apprendre à contrôler la balle en gérant la poignée avec l'intérieur du poignet. Cela ne peut se faire qu'avec des poignées longues, et l'ajout d'un grip sera un avantage non négligeable. Pour déclencher le tir, on va garder la main ouverte et la tirer aussi vite que possible verticalement pour faire faire un tour complet au joueur. Entraînez-vous d'abord en tirant droit, puis intégrez cette technique dans un tir poussé ou tiré, avant de commencer à varier les angles.
On a souvent tendance à travailler à fond ses tirs et à laisser de côté la partie un peu plus technique qui consiste à passer la balle de ligne en ligne, tout simplement parce que cela ne marque pas de point. Et pourtant il est primordial d'être capable de faire remonter la balle jusqu'aux avants pour pouvoir placer son tir fatal ! C'est en effet avec les avants que l'on a le plus de chances de marquer au baby-foot.
Il faut commencer par prendre l'habitude de bien positionner ses arrières et son goal avec un léger décalage, mais pas de trou direct entre les deux. Cela doit devenir naturel afin que vous conserviez en permanence les yeux sur la balle. La clé sera d'anticiper les déplacements de l'adversaire pour le contrer. Enfin, il est recommandé de relancer vers ses avants plutôt que de tenter un tir direct qui risque fort d'être contré, à moins que dans le feu de l'action vous ne déceliez une ouverture dans la garde adverse.
Pour retrouver la première partie de cet article, cliquez ici.