Ca commence aujourd'hui : lancement de la 1ère étape des Championnats du Monde à Pontoise (Val d'Oise).
Pendant les 3 jours de compétition du 18 au 20 mai, les meilleurs équipes vont s'affronter, sur des baby Bonzini,  lors de cette première étape des Championnats du Monde.

Les compétitions auront lieu dans le HALL OMNISPORTS P.HEMET,1 rue Pierre de Courbertin,Pontoise.
Les partenaires principaux de cet évènement sont le Conseil Général du Val d'Oise, la société Bonzini, bien connue pour la qualité de ses tables, la chaine Eurosport 2 et la société Kozoom.
Environ 400 compétiteurs sont attendus, provenant de 15 pays, sous l'oeil attentifs de milliers de passionnés de ce sport.
Parmi les compétitions principales : compétitions en simples et en doubles, pro, semi pro, hommes, femmes et mixtes.
La société Bonzini installe 90 tables de baby foot pour cet évènement.
Venez nombreux, l'entrée est gratuite !

Toutes les informations ICI

Tous les résultats en direct sur le site ITSF

Née le 11 décembre 1967 à Bath, Angleterre, Michaela Tabb, est une arbitre professionnelle de snooker écossaise. C'est la première femme ayant obtenu le titre d'arbitre international de snooker, ouvrant la voie à de nombreuses arbitres féminines dans les disciplines de billard.
Michaela Tabb est la première femme ayant officié lors d'un match de snooker professionnel en 2002, lors d'une finale de tournoi Ranking en 2007, et lors d'une finale du championnat du monde de snooker, en 2009 puis une seconde fois en 2012. 
Avant sa carrière d'officielle, Tabb a remporté plusieurs titres féminins en billard anglais, en individuel et par équipes, remportant deux "Grands Chelem" avec l'équipe d'Écosse, la Coupe des Nations, le championnat d'Europe et le championnat du monde par équipes en 1997 et 1998.
  Elle débute la pratique du billard anglais en compétition en 1991 à 23 ans, elle est sélectionnée dès l'année suivante dans l'équipe nationale écossaise féminine. Elle en devient très vite la capitaine, et mène l'équipe à de grands succès internationaux, avec deux titres de championne du monde par équipes, de championne d'Europe par équipes et deux victoires de suite en coupe des Nations. Elle se maintient dans l'équipe jusqu'en 2003, malgré le début de sa carrière d'arbitre en 2001.
Son meilleur break en snooker est de 26.
Arbitre
Tabb est impliquée dans l'arbitrage de billard anglais dans le milieu des années 1990, au niveau amateur. Son mari, le joueur professionnel Ross McInnes et elle organisent des tournois de Eight-Ball et de Nine-Ball. McInnes l'encourage à développer son activité au niveau professionnel.
Tabb fait ses débuts professionnels en 1997, à la Coupe de Saint Andrews de nine-ball. Son premier match télévisé se fait l'année suivante, alors que le tournoi est diffusé par Sky Sports. Elle s'impose rapidement comme l'une des personnalités prépondérantes de l'arbitrage dans les billards anglais et américain, elle officie dans chacun des évènements principaux de la discipline, dont les championnats du monde de nine-ball et la Mosconi Cup.
Tabb est recrutée par Jim McKenzie, président de la WPBSA, en 2001, suivant la volonté de ce dernier de changer l'image exclusivement masculine du snooker. Elle est, pour ce faire, exemptée du cursus classique d'apprentissage d'une durée de cinq années, et suit une formation accélérée destinée à lui faire intégrer le circuit ranking dans les plus brefs délais. Elle est nommée arbitre de 3ème classe en septembre 2001. Cette ascension rapide lui vaut, de son propre aveu, le ressentiment de certains de ses collègues officiels.
Cela ne l'empêche pas de débuter sur le circuit professionnel au Welsh Open 2002, où elle devient la première femme à officier sur un tournoi Ranking. Elle y arbitre un match du premier tour entre Ken Doherty, tenant du titre, et James Wattana. Doherty remporte le match 5-2. Dès 2003, elle fait son entrée au championnat du monde, pour arbitrer un match du premier tour entre Mark King, tête de série no 11 et Drew Henry, match qu'elle cite comme le plus marquant de sa carrière. Son compatriote Henry se qualifie pour le second tour, 10-5.
Pourquoi faire un article sur cette femme arbitre, en dehors du fait qu'elle soit la première femme a exercer ce métier ?
Pour différentes raisons :
La première de ces raisons réside dans le fait que son meilleur break soit de 26 ! On ne demande pas à un arbitre d'un championnat du monde d'avoir été champion du monde, mais quand même !
La seconde raison est sa propension à faire profiter les spectateurs et téléspectateurs de ses formes plus que généreuses. La photo ci dessus en est une illustration parfaite ! Dans une Angleterre assez puritaine, où le snooker est une religion, ne doutons pas que ça doit faire grincer des dents !
La troisième raison tient au fait qu'elle pourrait détenir facilement le titre de miss bourde, avec quelques morceaux de choix à son actif. Par exemple lors de la finale des Championnats du Monde 2012, où, à la frame 21, elle ne parvient pas à repositionner la bille rose, déplaçant légèrement une rouge, pour finir par trouver une solution approximative.
Mais je crois que sa spécialité est quand même le fait de se tromper de billes : il lui est arrivé de prendre la bille blanche au lieu de la verte (Championnat du Monde de 2010) ou encore de prendre la bille blanche pour la mettre sur le spot de la bille rose ! (Championnat du Monde de 2013).
Sacrée Michaella !           

Après une année sabbatique, Ronnie O'Sullivan est de retour pour défendre son titre mondial au Crucible Theatre de Sheffield...

Le quadruple champion du monde de 37 ans, est de retour. Voici ses explications: son départ, pourquoi il est de retour et ses chances de remporter un cinquième titre mondial.

Pourquoi il a quitté snooker pendant un an ?

« J'ai une grosse responsabilité, quand je joue au billard et je comprends cela, mais il y avait un peu trop de pression, avec des répercussions dans ma vie personnelle.

J'étais comme un élastique, à un certain moment j'allais casser... alors j'ai décidé que la meilleure chose à faire était de me retirer.

Mais ma décision était largement fondée sur le fait que je venais de gagner la plus grande des compétions. Il y avait aussi mon petit garçon, il fallait dire stop. Et je pense que c'était le bon moment »

Pourquoi il est de retour ?

« J'ai réalisé que le snooker m'a donné beaucoup d'opportunités... mais une fois que j'ai fini de jouer, je suis paresseux, je me mets à l'aise, et j'ai beaucoup trop de temps, pour rien... C'était agréable mais avec le recul, je me disais que ce n'étais pas ce que je voulais.

Puis cette perspective m'a aussi aidé à apprécier ce snooker, ce qu'il pouvait me donner... Ça m'a permis de voir les différentes parties du monde et rencontrer des gens que je n'aurais probablement pas atteint »

Son état d'esprit actuel.

« Les deux dernières années ont probablement été les deux meilleures années que j'ai jamais eu, parce que j'ai réussi à

jouer à mon niveau... J'ai toujours su que j'étais capable de faire ça : jouer comme je le voulais !

Je suis très anxieux par rapport à ça... chaque jour est différent - certains jours vous êtes grand, certains jours, vous n'êtes pas si grand. C'est ce que j'essaie de contrôler au maximum.

Ma meilleure réalisation a été remporté le titre mondial l'an dernier. Quand tout le monde croit que vous allez gagner et que vous gagnez, c'est la marque d'un grand champion. Cette année, personne ne s'attend à ce que j'aille très loin, comme si d'un côté, je n'avais rien à perdre. C'est plus facile du coup.

Mais gagner quand vous avez tout à perdre est beaucoup plus impressionnant que de le faire comme un ''outsider'' ».

Retour définitif ?

« Je ne sais pas combien de temps je vais jouer encore. Je ne sais pas combien d'événements je vais faire et lesquels... je n'ai plus besoin de prouver quoi que ce soit, à personne, maintenant c'est à peu près comme passer à travers la vie et s'amuser : jouer selon mes conditions.

Si je pouvais trouver quelque chose à faire loin du billard... Quel qu'il soit: journalisme, avoir mes propres spectacles, quelque chose pour remplir mon temps... »

Après cette retranscription, nous apprenons qu'il a gagné 10-4, son premier match contre Macus Campbell....

C'est qui le patron ?

Un peu plus, et l’Open de billard de Saint-Emilion 2013 passait à la trappe

La faute à quoi ? Faute… de billards, tout bêtement. « Nous avons eu un problème sur l’organisation, explique Philippe Fauroux, président de l’ASC et de l’Afebas. Nous avions commandé un kit neuf mais, en janvier, le camion qui les transportait s’est renversé. Celui que nous devions recevoir est resté bloqué par la neige au Havre. »

Le camion est finalement arrivé jeudi au lieu de mercredi et les bénévoles ont mis les bouchées doubles et travaillé une partie de la nuit pour que tout soit installé dans les temps. Au final, l’engouement pour cet évenement est resté le même que sur les éditions précédentes, avec une diminution à peine sensible.

2013 marque également une très nette progression du nombre de jeunes participants. « Nous avons 32 jeunes de moins de 16 ans, ce qui représente un nombre très important », nous indique Philippe Fauroux, qui apprécie de pouvoir donner à ces jeunes l’opportunité de s’exprimer en compétition, assurant ainsi l’avenir de ce sport requérant adresse et réflexion.

Et, dans les faits ?

De fait est, les rencontres autour du tapis vert semblent fédérer : pour la soirée d’ouverture, dédiée essentiellement aux clubs locaux, les hostilités se sont terminées au petit matin, avec la victoire de Fabien Zausa, de La Réole. Cette année encore, c’est Christophe Lambert qui remporte le Grand Prix, battant en finale Christophe Thébaut, des Black Birds de Blois. Le club du finaliste a son importance dans cette édition.

Cette année, en effet, l’Open a malheureusement été endeuillé par le décès de Michel Lhomme, joueur des BlackBirds de Blois, membre de l’équipe de France Afebas et ancien membre du Grand Prix. Un livre d’or a été déposé et un hommage lui a été rendu dimanche, sous la forme d’une minute d’applaudissements.

3 -2, 4- 2 pour LAMBERT...