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Le Carrom (ou billard indien), est très pratiqué en Asie, et surtout en Inde. A la différence du billard traditionnel, celui-ci se joue sans queue et sans bille. Il s'agit de faire glisser des pions sur un support en bois.
Vous en avez rêvé, Riley l'a fait !
Le choix d'une queue de billard est quelque chose de difficile. Il s'agit d'un objet très personnel, qui va devenir le prolongement de votre main quand vous jouez au billard.
La photo est importante et nous portons une attention toute particulière à la qualité de celles-ci et essayons de donner le maximum d'informations sur les détails : le fût, la flèche, l'embout (ou procédé), la virole, le type de jonction pour les queues qui ne sont pas monobloc.
C'est beaucoup, mais pour des queues de haut de gamme l'acheteur ressent souvent un manque : beaucoup de joueurs nous ont confié qu'ils souhaiteraient avoir une information plus complète, qui leur donnerait l'impression d'être en magasin avec la queue de billard en main ave la possibilité d'examiner chaque détail avec précision, ce qui est impossible avec un système de photos classique.
Après plusieurs mois de recherche Riley a développé un système unique sur le marché du billard : la vision en 360 °.
Voir une illustration ici : Cliquez sur ce lien
Vous aurez l'impression d'avoir la queue de billard dans votre main avec la possibilité de l'examiner sous toutes les coutures.A l'aide des différents boutons situés sur le système de visionnage vous pourrez :
Une fonction "Play" permet de dérouler toutes ces fonctions en automatique.
Plusieurs fonctions sont faciles à gérer : déplacer la queue de billard en haut ou en bas, la faire tourner à 360°, zoomer ou dézoomer sur la partie que vous souhaitez.
Vous disposez alors de ce qui se fait de mieux aujourd'hui pour visualiser tous les détails qui sont importants pour l'acquisition d'une queue de billard, ce qui donnera la possibilité de prendre votre décision en connaissance de cause et faire le meilleur choix possible.
Seules les queues de haut de gamme disposent de cette possibilité : nous travaillons pour rendre ce dispositif accessible à toutes les queues de billard. Juste un peu de patience ...
En fin d'année il est de coutume de faire des statistiques, regarder en arrière sur l'année qui se termine et voir ce qui a été bien et moin bien. Avec force "Best of" et " Ce qu'il ne fallait pas rater" ...Plutôt que de nous livrer à cet exercice et passer en revue l'année écoulée, nous avons préféré élargir le champ d'investigation et nous pencher sur le point crucial du Snooker : le fameux 147 (maximum de points qui puisse être fait lors d'un match) et tenter de faire une revue, pas forcément exhaustive, de tout ce qu'il faut savoir pour avoir l'air d'un connaisseur ....
Le break maximum en Snooker, dans des circonstances normales, est de 147 points (en anglais One Four Seven). Un 147 est habituellement reconnu comme étant le maximum, bien que nous verrons plus bas qu’il est possible de faire plus de points. Un score de 147 est réalisé en empochant l’ensemble des 15 billes rouges avec 15 noires soit un total de 120 points, puis les six billes de couleurs, dans un ordre précis, pour un total de 27 points. Le break maximum a été réalisé 97 fois en compétition professionnelle. Ronnie O’Sullivan et Stephen Hendry partagent le record de 11 break maximum officiels chacun.
Les scores supérieurs à 147 sont toutefois possibles dans le cas du "free ball" ou bille libre qui résulte d’une faute de l’adversaire : cela est arrivé une seule fois lors d’une compétition professionnelle.
Dans le cas d’une bille libre en début de manche, le break maximum possible est de 155 : Suite à une bille libre, il est alors possible de jouer n’importe quelle couleur comme s’il s’agissait d’une bille rouge, puis une autre couleur, et enfin les 15 rouges et noires et les 6 couleurs. Le break le plus élevé réalisé jusque-là est de 155, si la bille qui suit la bille libre est une bille noire (soit 1 point pour la bille rouge, 7 pour la bille noire, et les 147)
Le premier break de plus de 147 a été réalisé en 2004 par Jamie Burnett dans un match contre Leo Fernandez lors du UK Championship : le break réalisé a été de 148.
Le break le plus surprenant.
Lors des championnats du monde 2010Ronnie O’Sullivan a demandé, après seulement 8 points, dans la manche qui l’opposait à Mark King, s’il y avait une prime pour un break maximum. L’arbitre Jan Veerhas lui répond qu’il n’y en avait pas pour un 147, mais juste une prime de 4000£ pour le plus break le plus important du Championnat.
Après avoir rentré toutes les billes, O’Sullivan s’arrêta alors à 140 points en laissant la bille noire sur la table, puis serra la main de son adversaire et de l’arbitre, expliquant qu’il n’allait pas finir le break du fait qu’il n’y avait pas de prime spéciale. Cependant, l’arbitre persuada O’Sullivan d’empocher la dernière bille noire pour ses fans de Glasgow.
Ce break était le dixième "maximum" de sa carrière. O’Sullivan expliqua alors être un peu déçu de ne pas avoir de bonus pour break : "Ce sont des moments magiques et ils méritent des bonus magiques."
Alors que s’est-il passé? "L’arbitre m’a joué le coup de la culpabilité, en disant : fait le pour tes fans. "
Le break le plus rapide.
C’est Ronnie O'Sullivan qui détient le record du break le plus rapide en snooker, il lui a fallu 5 minutes et 20 secondes lors de la première manche dans les championnats du monde de 1997.
Le plus beau break.
Celui de S. Hendry en 2012. Mais c’est totalement subjectif !
Les premières fois:
Le premier break maximum a été réalisé par Murt O’Donoghue a Griffith, Nouvelle Galles du Sud, en Australie le 26 Septembre 1934.
Joe Davis a réalisé le premier 147 officiellement enregistré le 22 Janvier 1955 à Leicester Square Hall à Londres, contre Willie Smith lors d’un match d’exhibition.
Le premier maximum ratifié en compétition a été réalisé par Rex Williams dans le match Professionnel v. Amateurs, le 23 Décembre 1966 à Cape Town.
Le premier maximum enregistré dans une compétition professionnelle fut celui de John Spencer le 13 janvier 1979 au tournoi de Holsten Lager contre Cliff Thornburn. Cependant, il n’a pas officiellement été ratifié à cause de poches surdimensionnés, facilitant l’empochage. Ce break n’a pas été enregistré, l’équipe de télévision étant à une pause thé.
Le premier break maximum dans une compétition professionnelle a été réalisé par Steve Davis au Classic de 1982 contre John Spencer, lors du Lada Classic. Ce fut également le premier 147 télévisé.
En 1983, Cliff Thorburn est devenu le premier joueur à réaliser le break maximum dans un Championnat du monde. Cet exploit a ensuite été répété par Jimmy White, Stephen Hendry (trois fois), Ronnie O’Sullivan (trois fois), Mark Williams et Alister Carter.
Cliff Thorburn est le premier joueur à avoir réalisé plus d’un break maximum en compétition, et Stephen Hendry est le premier joueur à avoir réalisé plus d’un break maximum lors de compétition télévisée.
Mark Williams est devenu la premier joueur à réaliser un break maximum officiel contre une femme au Rhein-Main Masters
Le joueur le plus jeune ayant réalisé un 147, toutes compétitions confondues, est Judd Trump au tournoi des moins de 16 ans de Potters à l’âge de 14 ans et 206 jours.
Le plus jeune joueur à avoir réalisé un 147 lors d’une compétition professionnelle est Thanawat Thirapongpaiboon au Rein-Main Masters de 2010 à l’âge de 16 ans et 312 jours.
Le plus jeune joueur à avoir réalisé un 147 télévisé est Ding Junhui à l’âge de 19 ans et 7 mois aux Masters de 2007.
Le joueur le plus âgé à avoir réalisé un break maximum dans une compétition professionnelle est Stephen Hendry, il a été réalisé aux Championnats du Monde de Snooker de 2012, Hendry avait 43 ans et 99 jours. Il arrivait de Chine la veille avec un jet lag de 6 heures
Un récapitulatif des 97 maximum break réalisés à ce jour, avec, si elle existe, la vidéo associée. Enjoy.
#
Nom
Evènement
Opposant
Année
Video
1
Steve Davis (1)
Lada Classic
John Spencer
1982
2
Cliff Thorburn (1)
Embassy World Championship
Terry Griffiths
1983
3
Kirk Stevens (1)
Benson & Hedges Masters
Jimmy White
1984
4
Willie Thorne (1)
UK Championship
Tommy Murphy
1987
5
Tony Meo (1)
Matchroom League
Stephen Hendry
1988
6
Alain Robidoux (1)
European Open
Jim Meadowcroft
7
John Rea (1)
Scottish Championship
Ian Black
1989
8
Cliff Thorburn (2)
9
James Wattana (1)
Mita World Masters
Paul Dawkins
1991
10
Peter Ebdon (1)
Strachan Professional
Wayne Martin
11
James Wattana (2)
British Open
Tony Drago
1992
12
Jimmy White (1)
13
John Parrott (1)
Tony Meo
14
Stephen Hendry (1)
Willie Thorne
15
Peter Ebdon (2)
Ken Doherty
16
David McDonnell (1)
Nic Barrow
1994
17
Stephen Hendry (2)
1995
18
Stephen Hendry (3)
Gary Wilkinson
19
Stephen Hendry (4)
Liverpool Victoria Charity Challenge
Ronnie O’Sullivan
1997
20
Ronnie O’Sullivan (1)
Mick Price
21
James Wattana (3)
China International Challenge
Pang Wei Guo
22
Stephen Hendry (5)
Doc Martens League
1998
23
Adrian Gunnell (1)
Thailand Masters Qualifiers
Mario Whermann
24
Mehmet Husnu (1)
China International Qualifiers
Eddie Barker
25
Jason Prince (1)
British Open Qualifiers
Ian Brumby
1999
26
Ronnie O’Sullivan (2)
Regal Welsh
James Wattana
27
Stuart Bingham (1)
UK Tour
Barry Hawkins
28
Nick Dyson (1)
Adrian Gunnell
29
Graeme Dott (1)
David Roe
30
Stephen Hendry (6)
Peter Ebdon
31
Barry Pinches (1)
Joe Johnson
32
Ronnie O’Sullivan (3)
Grand Prix
Graeme Dott
33
Karl Burrows (1)
Benson & Hedges Championship
Adrian Rosa
34
Stephen Hendry (7)
Paul Wykes
35
John Higgins (1)
Nations Cup
Dennis Taylor
2000
36
John Higgins (2)
Benson & Hedges Irish Masters
37
Stephen Maguire (1)
Regal Scottish
Phaitoon Phonbun
38
Ronnie O’Sullivan (4)
Quinten Hann
39
Marco Fu (1)
Regal Masters
40
David McLellan (1)
2000 B&H Championship
Steve Meakin
41
2000 UK Championship
Robert Milkins
42
Stephen Hendry (8)
Malta Grand Prix
Mark Williams
2001
43
Ronnie O’Sullivan (5)
LG Cup
Drew Henry
44
Shaun Murphy (1)
B&H Championship
45
Tony Drago (1)
Stuart Bingham
2002
46
Ronnie O’Sullivan (6)
Marco Fu
2003
47
John Higgins (3)
48
John Higgins (4)
Michael Judge
49
John Higgins (5)
Ricky Walden
2004
50
David Gray (1)
Mark Selby
51
Mark Williams (1)
2005
52
Stuart Bingham (2)
Masters Qualifying
Marcus Campbell
53
Robert Milkins (1)
888.com World Championship
2006
54
Jamie Cope (1)
Royal London Watches Grand Prix
Michael Holt
55
Ding Junhui (1)
Saga Masters
Anthony Hamilton
2007
56
Andrew Higginson (1)
Welsh Open
Ali Carter
57
Jamie Burnett (1)
Liu Song
58
Tom Ford (1)
Steve Davis
59
Ronnie O’Sullivan (7)
Northern Ireland Trophy
60
Ronnie O’Sullivan (8)
Maplin UK Championship
61
Stephen Maguire (2)
China Open
Ryan Day
2008
62
Ronnie O’Sullivan (9)
63
Ali Carter (1)
64
Jamie Cope (2)
Shanghai Masters
65
Liang Wenbo (1)
Bahrain Championship
Martin Gould
66
Marcus Campbell (1)
Ahmed Al Khusaibi
67
Ding Junhui (2)
John Higgins
68
Stephen Hendry (9)
Betfred.com World Championship
Shaun Murphy
2009
69
Mark Selby (1)
Jiangsu Classic
Joe Perry
70
Neil Robertson (1)
2010
71
Kurt Maflin (1)
Star Xing Pai PTC1
Michal Zielinski
72
Barry Hawkins (1)
Star Xing Pai PTC3
James McGouran
73
Ronnie O’Sullivan (10)
World Open
Mark King
74
Thanawat Thirapongpaiboon (1)
EPTC3
75
Mark Williams (2)
Diana Schuler
76
Rory McLeod (1)
EPTC6
Issara Kachaiwong
77
Stephen Hendry (10)
Stephen Maguire
2011
78
Ronnie O’Sullivan (11)
PTC4
Adam Duffy
79
Mike Dunn (1)
German Masters
Kurt Maflin
80
David Gray (2)
PTC10
Robbie Williams
81
Ricky Walden (1)
Gareth Allen
82
Matthew Stevens (1)
PTC12
Michael Wasley
83
Ding Junhui (3)
Brandon Winstone
84
Ding Junhui (4)
PTC11
James Cahill
85
Jamie Cope (3)
86
Marco Fu (2)
Haikou World Open Qualifiers
Matt Selt
2012
87
Robert Milkins (2)
World Championship Qualifiers
Xiao Guodong
88
Stephen Hendry (11)
World Championship
89
Stuart Bingham (3)
Wuxi Classic
90
Ken Doherty (1)
ET1
Julian Treiber
91
John Higgins (6)
Judd Trump
92
Tom Ford (2)
ET4
Matthew Stevens
93
Andy Hicks (2)
UK Championship qualifiers
Daniel Wells
94
Jack Lisowski (1)
Chen Zhe
95
John Higgins (7)
Mark Davis
96
Kurt Maflin (2)
ET5
Stuart Carrington
97
Ding Junhui (5)
PTC Grand Finals
Mark Allen
2013
98
Histoire du 147
Passer en revue 2012 n'est pas chose facile..
Il est toujours bon de faire le point sur une année qui vient de se terminer, c'est comme se remémorer une année scolaire, avec les bons, et les mauvais points... C'est une tradition.
On regarde, commente, on se dit que l'année prochaine il faudra faire mieux, et que nos espoirs deviendront réalité... Revenons donc, sur les principaux événements qui se sont produits au cours de cette belle année 2012 !
Il faut dire que 2012 a été définitivement une année brillante pour le billard et le snooker. Nous avons eu plus de tournois que jamais auparavant et donc, plus de surprises. Nous avons eu des drames, des scandales et de grandes victoires ! Et dans l'ensemble, certainement l'une des années les plus riches dans l'histoire du snooker.
Saison 2011/2012, janvier : a commencé avec l'un des plus prestigieux tournoi de snooker - « The Masters »
Heureux, à l'Alexandra Palace, Robertson Neil après avoir redonné ses lettres de noblesse à cet endroit magique, en ayant remporté par une brillante victoire 10-6 contre Shaun Murphy, les Masters 2012. Très belle image de Robertson et son petit garçon aux cheveux bouclés, qui accompagne son père devant le tapis de la victoire. Probablement l'une des plus regardée de l'année, étant donné cette réputation que les joueurs de billard ont, connus pour garder leur vie privée bien loin des photographes et caméras.
Février nous amène les deux premiers principaux événements de l'année dans le feu des projecteurs: les Masters allemands et l' Open du Pays de Galles.
Nous avons vu Ronnie O'Sullivan se battre pour retrouver sa position en haut de l'échelle, qu'il a si facilement obtenu pendant des années, et l'occasion de le faire dans un match contre Stephen Maguire, terminé sur un 9-7 final. C'est au cours de ce tournoi qui O'Sullivan a révélé qu'il souffrait de fièvre glandulaire, une maladie cruelle qui au fil des ans a porté atteinte plus d'une fois à sa vie professionnelle et privée.
L' Open du Pays de Galles a été marqué par un nom chinois : Ding Junhui, qui bat Mark Selby 9-6. Une belle fin, effaçant ce début de saison qui n'était pas extraordinaire , et qui a donc réjouit les fans du monde entier.
Ce tout nouveau tournoi organisé à Haikou ( Chine ) en Mars s'est vu remporté par le Nord-Irlandais Mark Allen. après une victoire 10-1 contre Stephen Lee... L'une des finales les plus creusée de tous les temps.
Cependant, Lee remporte seulement quelques jours plus tard la finale du Championnat Players par un écrasant 4-0 contre Neil Robertson.
En Extrême-Orient, l'Open de Chine a marqué le renouveau de Peter Ebdon, gagnant après une éprouvant et très longue finale 9-10 contre Stephen Maguire.
Au début du mois de mai, la couronne des Championnats du Monde a été soigneusement mise sur la tête de Ronnie O'Sullivan, battant Ali Carter 18-11, et ainsi, saisissant son quatrième titre mondial. Il a ensuite rapidement annoncé qu'il allait prendre six mois de vacances, tout en affirmant qu'il ne renonçait pas au snooker pour l'instant.
Probablement pas la meilleure fin de saison, mais clairement une très honorable.
La saison 2012/2013 a fait ses débuts avec ses traditionnels tours de qualification, mais dès Juin, les champions étaient prêts à dépoussiérer leurs queues et se remettre au travail !
Ricky Walden a marqué le Wuxi Classic, qui, depuis 2008 (quand il a battu O'Sullivan au Master de Shanghai) attendait sa victoire, et son trophée manquant !
Walden a battu Stuart Bingham 10-4. Un jeu incroyable qui nous promettait déjà une saison remarquable de snooker.
La deuxième édition de L'Open d'Australie a mis Barry Hawkins sous les projecteurs, après avoir remporté au début de l'année le non traditionnel le tournoi ''Shoot-Out à Blackpool'', cette fois-ci, remporte une victoire de 9-3 sur Peter Ebdon et un trophée bien mérité.
En Septembre un match rempli de tensions a eu lieu en Chine, aux Masters de Shanghai. Les vedettes de la finale : John Higgins et Judd Trump. Ces deux rivaux avaient déjà beaucoup fait parlé pendant les Championnats du Monde 2011.. et nous pouvons maintenant en dire autant avec ce championnat.
Higgins a réussi à revenir d'un 7-2, à une victoire contre Trump 10-9. Mettant un terme à une son horrible saison.
Triste nouvelle en novembre : le retrait de Ronnie O'Sullivan a partir de cette saison de snooker, le joueur invoquant des «raisons personnelles». Cela signifie qu'il ne serait pas en mesure de défendre son titre mondial.
Le dernier événement principal de l'année 2012 a été le retour de Mark Selby sur le podium, le joueur de Leicester a remporté le championnat britannique 10-6 en jouant contre un vieil ami, Shaun Murphy … mais c'était en Avril.
Il est facile de conclure que nous avons eu une année 2012 très chargée et nous pouvons supposer que 2013 apportera encore plus de tournois, de rebondissements, de victoires et de défaites, mais plus important encore... Nous aurons toujours ce frisson magique, de voir ces boules colorées roulant vers le bas du tapis vert...
De notre côté, l'année s'est parfaitement déroulée. Nous avons, comme les années précédentes, fait de notre mieux pour vous satisfaire : donner l'envie aux débutants et combler les passionnés. Nous mettons en oeuvre tout notre savoir-faire pour ne jamais décevoir, et espérons que nos efforts vous ont été profitables.
Nous vous souhaitons, à toutes et à tous, une excellente et belle année 2013.